Le Jeune……
2 min readL’alimentation est un sujet tellement important que je serais obligé de le développer d’une manière plus détaillée dans mon blog : « SILENCE BRISE ». Ici, je vais plus m’intéresser particulièrement à l’alimentation du malade.
Quelle doit être sa nourriture ? Je répondrais toute suite : «Aucune ». Dés que l’on tombe malade, ne serait-ce que d’une simple indigestion, un mal de tête ou tout autre malaise, on doit cesser de s’alimenter pendant un jour ou plus. Pourquoi ? Simplement parce c’est, le plus souvent, l’excès de nourriture qui a causé la maladie.
C’est une grave erreur de s’imaginer qu’on peut aider les malades et les convalescents en leur donnant une nourriture dite fortifiante qui comprend, d’après le préjugé courant : du rôti, du vin, des œufs, de l’extrait de viande, etc. Au contraire, on ne fait que ralentir la guérison et provoquer souvent des rechutes, car un organisme faible ne peut convenablement que des aliments légers.
Pour guérir, il ne faut pas augmenter les déchets qui existent déjà dans l’organisme et qui constituent le terrain favorable à toute maladie, mais, au contraire nettoyer celui-ci, le libérer de toutes les impuretés qui s’y sont accumulées, lentement, sournoisement et quelquefois depuis l’enfance.
Or, nous avons remarqué que ce sont surtout les parents du malade qui ont peur que celui-ci ne meurt de faim et qu’ils cherchent, par tous les moyens, à l’alimenter, certaines fois, même contre sa volonté.
C’est exactement le contraire qu’il faut faire.
Il est nécessaire de comprendre que l’ont est tombe malade, c’est justement parce qu’il y a eu surcroit de nourriture ou nourriture antinaturelle. Cette manie de vouloir, à tout prix alimenter les malades devient néfaste et a fait d’assez nombreuses victimes.
Combien de mamans ont perdu leurs enfants, inconsciemment, pour leur avoir donné à manger alors qu’ils avaient surtout besoin d’une diète pour dégager leur tube digestif encombré.
Il est évident que, si la maladie est souvent une intoxication d’origine alimentaire, la première chose est de ne pas continuer à donner à manger, ce qui produit une nouvelle intoxication s’ajoutant à celle déjà existante empêchant ou retardant la guérison.
Bisou…