Je commence la nouvelle année avec des conseils, qui vont m’aider avec mes futurs projets, qui me prend toute mon énergie. Alors j’ai voulu partager avec vous, pour vous aidez si possible.
Lorsqu’on se fait de la bile, du mouron, qu’on ressasse des mauvais souvenirs ou qu’on anticipe les problèmes, on se laisse envahir par un stress que l’on a soi-même créé. Ces ruminations ont un impact négatif sur nos émotions. Voici 4 conseils qui pourront vous aider.
1. On identifie ses « rengaines négatives »
Dès notre enfance, et même en cours de notre période de scolarisation on stocke des formules négatives, dévalorisantes, des sentences qui reviennent en boucle à la façon d’un disque rayé. Celles-ci sont si bien intégrées à notre juke- box mental que l’on y prête même plus attention.
Il faut changer de disque ! je dis et je répète Changer de Disque !!
• Repérer d’abord ses pensées parasites pour mieux les éradiquer. Elles s’apparentent à de fausses croyances et constituent des obstacles à notre accomplissement. Par exemple toutes les phrases du type : « je suis nulle », « je ne vais pas y arriver », « je suis trop grosse », « qu’est-ce qu’on va penser de moi ? », « c’est la faute à pas de chance », » je suis trop bête », etc. … sont des pensées toxiques, souvent répétitives, qu’on pourra éradiquer plus facilement une fois identifiées.
2. On dégage les parasites
Alors moi j’appelle par parasite, ses ami(e)s qui se font appelés ami(e)s mais qui sont de vrais parasites. Ils vous font croient qu’ils sont là pour vous et qu’ils seront là en cas d’urgence mais c’est un leur.
Fuyez-les, c’est simple vous êtes venues seul sur cette terre, et je ne crois pas qu’ils seront prêts à recevoir une piqûre chez le médecin pour vous. Ce sont de vrai suceurs de bonne humeur, des vampires habillés en habit du dimanche.
Je ne vous ferez pas un dessin quand même, là formule est simple : Dégagez-les pour votre tranquillité.
3. On cultive l’optimisme
Dès que ces pensées négatives surgissent, on les piège sans attendre en se disant : « Stop ! » afin de les empêcher de se développer et de nous envahir.
• Remplacer les phrases toxiques par des affirmations positives. Des formules optimistes qui vont renforcer notre « self-estime » et créer, avec la pratique, de nouvelles connexions neuronales. Par exemple, remplacer : « je ne vais pas y arriver » par « ça va marcher », « je ne suis bon à rien » par « j’ai de réelles capacités », « je n’ai pas de chance » par « je m’ouvre aux opportunités », « je me trouve moche » par « je me trouve pas mal aujourd’hui », ou encore « »j’ai honte de moi » par « je suis fière de moi ».
Au total, on exprime sa gratitude envers les bonnes choses de la vie plutôt que de se focaliser sur nos problèmes.
3. On prend conscience de nos qualités
En croyant en nous et s’apprécient à notre juste valeur, on propulse une énergie positive qui nous apporte joie et accomplissement dans tous les domaines de notre vie .
• Penser au but qu’on va atteindre plutôt qu’à ce qui nous fait peur.
• Prendre conscience de ses compétences, de ses talents personnels. Tâcher de trouver au moins trois qualités qui nous sont spécifiques et prendre conscience de ses aptitudes.
• Imaginer de quelle façon on va les utiliser dans notre vie quotidienne ou dans nos projets. Et les évoquer plusieurs fois dans la journée, pour les enregistrer mentalement.
• Et si on doute encore de soi ? On demande à ses proches ce qu’ils apprécient le plus chez nous. C’est bon pour le moral et la confiance en soi !
Avez-vous une recette pour lutter contre le Stress ?
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